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Mes étapes : Oulan-Bator, Parc National de Hustai, le désert de Gobi en van, Oulan-Bator, Kharkorin, bus de nuit vers Murun, Khatgal au bord du lac Khovsgol, bus de nuit retour pour Oulan-Bator.
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Après avoir traversé la Russie dans les magnifiques couleurs de l'automne, je suis arrivée à Oulan-Bator sous la neige !
Malgré les voyageurs qui disent détester cette ville, je la trouve surprenante, hétéroclite, décalée... unique ! Les yourtes et cabanes de bois se mêlent étrangement aux buildings, des rues asphaltées débouchent de petites ruelles boueuses aux clôtures de bois, et l'on croise autant de jeunes mongols habillés à l'occidentale que de personnes plus âgées vêtues du traditionnel manteau d'hiver qui descend jusqu'aux mollets.
Chaque fois que l'on en part pour une excursion, on finit toujours par revenir à la capitale, car c'est d'ici que partent tous les transports publics.
Petite rue dans Oulan-Bator
Containers du marché de Oulan-Bator
Première monnaie de la Mongolie indépendante (1923)
On dirait des billets de Monopoly !
Monnaie actuelle : les tugriks
Les petits chevaux de Przewalski, chevaux sauvages de Mongolie
Cerfs et biches
Départ pour le désert de Gobi
Chaque soir, nous sommes hébergés chez une famille nomade
Famille nomade et son troupeau de chèvres
A notre arrivée, nous sommes accueillis avec du fromage de chèvre ou de chameau, du thé, du lait et des gâteaux.
Fromages secs et crème faits maison
Les mongols nous cuisinent toujours un bon repas de riz et viande de mouton auquel nous ajoutons quelques légumes, et que nous partageons tous ensemble...
Autel à Bouddha présent dans chaque foyer
Les nuits sont froides et nous nous endormons sous d'épaisses couvertures
Picnic sur la route avec notre chauffeur
Désert de sel
Ciel-yeux, cieux.
Petites gazelles aperçues en chemin...
Soleils sur nos visages,
Langage universel.
Oh ça je l'ai jamais bien su.
Mais si jamais je savais...
Je crois bien que je n'irais plus !"
Grain de sable dans le désert, goutte d'eau dans la rivière.
(Le petit point debout à droite, c'est moi !)
Leurs campements de fortune me rappellent des images du Yukon et les romans de Jack London.
En longeant l'arête au sommet des dunes, nous pouvons observer le désert qui s'étend à perte de vue... Le sable dévale la pente sous nos pas en une lente avalanche. C'est alors que nous sentons une sensation étrange, une vibration venue du plus profond de la dune, juste sous nos pieds, un grondement magique emplit l'air, je n'en crois pas mes oreilles... la dune chante !!
J'essaie de traire une chèvre, mais la mère de famille va beaucoup plus vite que moi !
Chanson mongole pour faire monter l'eau de la source !
Dans le Parc National de Gurvansaikhan :
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Monastère Manustri
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En voyageant, on se rend compte des inégalités concernant les progrès techniques et leur accès au quotidien.
Comme a écrit Rousseau : on est alors "malheureux de les perdre sans être heureux de les posséder".
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Quel incroyable voyage ! Un retour au source qui rappelle que l'être humain n'est rien sans la nature... Merci de nous faire voyager ! Je suis touchée par tant de beauté :) Des bisous
RépondreSupprimerNoey